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FeedC’est ici que je divague. Toujours à propos de technologie mais rarement la même d’un article à l’autre.
Que ce soit sur la programmation, les outils de développement ou des défis techniques en pro ou en perso, j’essaie de décrire le problème, d’énumérer les solutions envisagée et d’expliquer celle choisie.
Je partage aussi des tutos que je fais à destination de mes collègues quand une même question revient souvent.
Bonne lecture!
Lignes multiples en YAML
Ces derniers temps, j’ai beaucoup travaillé sur les pipelines d’intégration continue de
gitlab
. La configuration de ces derniers ce fait enyaml
et il n’est pas rare d’avoir de très longues commandes. Pour des raisons de lisibilité évidentes, il peut être pratique de les afficher sur plusieurs lignes.Seulement voilà,
yaml
a plusieurs approches pour splitter les lignes. Et vu que je ne me souviens jamais vraiment de qu’est-ce qui fait quoi et que j’en ai marre de farfouiner au fond des internets: un nouveau pense-bête!Clap complete
Clap
est une bibliothèque permettant de gérer les arguments en ligne de commande pour les programmes écrits enrust
.Une bibliothèque supplémentaire,
clap_complete
permet de générer le code nécessaire à l’autocomplétion pour les interpréteurs commebash
ouzsh
.Cet article porte sur le peu de code nécessaire à le faire fonctionnner.
Die CAPSLOCK, Die!
LA DERNIÈRE FOIS QUE J’AI UTILISÉ VOLONTAIREMENT
CAPSLOCK
Oh, pardon, reprenons. La dernière fois que j’ai utilisé volontairement
CapsLock
, je devais avoir douze ans et ne savais pas gérer la mise en page de mes titres dans un rapport de stage de troisième.De l’eau a coulé sous les ponts. Utiliser un clavier programmable résout le problème sous une première forme: il est possible de supprimer
CapsLock
.Mais, parfois, il faut revenir à un clavier normal comme présentement sur l’ordinateur portable du travail. En ce cas, tout n’est pas perdu,
xorg
à la rescousse.Git push options
Ce matin
un lapin, j’ai pris le temps de faire ce que je me promettais depuis des semaines: retirer mes aliasbash
au profit d’aliasgit
en bonne et due forme.J’en ai profité pour découvrir d’autres usages de la configuration de
git
via le fichier.gitconfig
ou.git/config
tels que les options automatiques lors du push. Mais, il y a un mais: il faut parfois retoucher la configuration à la main pour arriver au résultat désiré.Password-store
Au début, il suffisait d’un mot de passe, c’était simple :
password
. Puis, il a fallu le changer tous les six mois, qu’à cela ne tienne,password0
,password1
et les suivants faisaient l’affaire. Mais après le mot de passe devait contenir au moins une majuscule, puis un chiffre, puis un ou plusieurs caractères spéciaux et sont apparusPassword
,Passw0rd
et autresPass/w0rd
.On le sait désormais, utiliser le même mot de passe pour des services différents et choisir des mots de passe faciles à
mémoriserdeviner sont de mauvaises pratiques. Mais trouver et se souvenir de trop nombreux mots de passe différents n’est pas aisé.Et puis au fond, pourquoi s’embêter à les trouver? Autant les générer aléatoirement. Et tant qu’on y est, pourquoi s’embêter à les mémoriser? Un ordinateur fait ça tellement mieux que nous.
Bash hacks
Je passe la majeure partie de mon temps de travail dans un terminal. Dans ce terminal, j’utilise l’interpréteur de commande
bash
. Et, bien que je trouve cela généralement plus intuitif que les clicodromes, il reste quelque recoins sombres que je continue à oublier. Cette page est un pense-bête pour le moi du futur qui ne désire plus rechercher encore et encore les solutions aux mêmes problèmes.